Non à la taxe kilométrique-Neen aan de kilometerheffing-

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canule

#24735 Re: taxe kilométrique

2014-02-21 09:22

#24732: MIA,,voter bien,voter malin :-) - taxe kilométrique

Tu as entièrement raison, Le PTB n'est pas une menace, mis à part qu'il est de tendance Marxiste, les grands partis le redoute, tout simplement parce qu'il pourait engendre une grnader une énorme perte de l'électorat des grnads partis et en va de même pour autres petits partis,

en somme les grands partis ont une très grande crainte de la montée en flèche de popularité de certains petits partis, puisqu'ils récupérent l'électorat de ses grands partis

Réponses

MIA,,voter bien,voter malin :-)

#24738 Re: Re: taxe kilométrique

2014-02-21 09:39:32

#24735: canule - Re: taxe kilométrique

Le 11 septembre 2009, il annonce pour le 26 novembre 2009 la création d'un nouveau parti politique, fondé par lui-même et Rudy Aernoudt, ex-fondateur du parti LiDé, sur les modèles du Partido Popular espagnol et de l'UMP française : le Parti populaire – en néerlandais Personenpartij. D'emblée, les principaux axes programmatiques sont calqués sur ceux des partis de droite-extrême et d'extrême-droite européens : thèses ultra-libérales sur le plan économique, dénonciation de l'immigration extra-européenne et des Roms, politique ultra-sécuritaire, dénonciation d'une corruption généralisée des représentants des partis politiques traditionnels... Malgré un score inférieur à 2% à l'échelle fédérale, le PP obtient un mandat de député à la Chambre des Représentants de Belgique par l'élection de Laurent Louis. Suite à de multiples conflits inter-personnels, de nombreux membres et responsables du PP en sont exclus, dont Rudy Aernoudt en août 2010 et Laurent Louis en janvier 2011. Modrikamen donne par la suite au PP une orientation se rapprochant de plus en plus des positions du Front national, parti d'extrême-droite français. Le discours doctrinal s'axe en effet principalement sur la préservation des "valeurs" traditionnelles et sur la dénonciation d'une immigration amalgamée à une "offensive islamiste", à la problématique de l'asile politique et à la délinquance. Cette radicalisation devient évidente lorsque, en juillet 2011, Modrikamen se proclame ouvertement du "mouvement" de Geert Wilders et de Marine Le Pen, principales figures de l'extrême-droite européenne qu'il estime en voie de transformation vers "une droite qui s'assume avec un côté populaire". Dans le même temps, sur le plan institutionnel, la position du PP évolue rapidement d'une conception unitariste vers une conception confédéraliste de l'État Belge ça c'est pour le pp Mischaël Modrikamen