Non à l'abrogation des décrets de 1950 pour les enseignants.

Quoted post

francoise scoccia

#490 aveu de l'unsa

2014-04-02 19:11

dans leur analyse du décret et de son article 2 :Article 2
I- et II-Il définit les composantes du métier :
les obligations d’enseignement
. Elles sont inchangées par rapport à l’existant. Elles restent fixées de façon hebdomadaire, ce qui empêche toute tentative d’annualisation.

les missions liées à l’enseignement.
Ce sont toutes les tâches qui existent déjà mais qui n’étaient pas considérées comme faisant partie du temps de travail. Le droit est maintenant en accord avec les faits.
Il apporte deux précisions concernant le temps de travail :

les enseignants effectuent un temps de travail normal comme les
autres fonctionnaires. On ne peut pas ajouter de nouvelles missions
sans indemniser ce temps de travail supplémentaire.

le service s’effectue bien «pendant l’année scolaire
».
Notre tempsde travail est « borné » par le calendrier scolaire.

à lire ici....http://www.se-unsa.org/IMG/pdf/AnalyseDecretService.pdf

pourquoi se prendre la tête à analyser le décret quand l'Unsa le fait si bien pour nous....
nous sommes bien passés aux 35 heures.......


Réponses


Visiteur

#494 Re: aveu de l'unsa

2014-04-03 08:10:07

#490: francoise scoccia - aveu de l'unsa

En partant du principe que le temps de travail est "borne" par le calendrier scolaire. En constatant  que d'année en année la rentrée est de plus en plus tôt, et donc que le calendrier scolaire évolue et évoluera encore selon les décisions de l'administration:

-on veut dire que si l'administration, sous couvert d'améliorer le niveau scolaire français ou des raisons "prétextes" , decide d'écourter les vacances intermédiaires d'octobre, noel, février ou/et pâques : ce" bornage" par le calendrier scolaire n'est en rien une garantie de stabilite concernant le temps de travail annuel.

Chafouins qu'ils sont, ils trouveront bien un énième tour de passe-passe. Ils déplaceront les "bornes" à défaut de déplacer les montagnes.