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#5783 Re: Re: SOUTIEN A DSK PLUS QUE JAMAIS

2011-10-02 18:09:59

#5782: - Re: SOUTIEN A DSK PLUS QUE JAMAIS 

 COMMENTAIRE FORUM ALEXANDRE THOMAS

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Quoique certains puissent dire et penser, DSK est bel et bien sorti blanchi de l’accusation pour viol……

Disons le un peu plus haut et un peu plus fort !

Selon le rapport de 25 pages du Procureur : « Les enregistrements des passes d’accès à l’hôtel indiquaient que la plaignante avait d’abord pénétré dans la suite 2806 à 12h06 et les enregistrements téléphoniques ont montré plus tard que l’accusé avait téléphoné à sa fille à 12h13 ».

SOIT 7 MINUTES montre en main pour contraindre une femme soi-disant non consentante à faire 1 ou 2 fellations (car l’acte d’accusation parle de 2 fellations).

- Comment caser le pugilat entre DSK et la plaignante dans ces 7 minutes ? tel qu’elle l’a décrit ?

Il reste pratiquement le même temps entre le coup de fil à sa fille à 12 h 13 et le check out de DSK à 12 h 28 si l’on déduit le temps de rhabillage, de plier bagages et prendre l’ascenseur soit globalement environ 8 mn (la suite 2806 est au 8ème étage).

Ce que ne dit toujours pas l’enquête c’est :

- Pourquoi N. Diallo n’a t-elle pas pris la poudre d’escampette durant le coup de fil de 12 h 13 alors que DSK avait UNE seule main et non plus deux pour la faire tenir tranquille ?

- Que faisait une femme de chambre dans une suite en présence d’un client qui n’y passait qu’une seule nuit et n’avait pas encore fait son check out ? Ce qui n’arrive jamais dans aucun hôtel même de catégorie inférieure.

Le Procureur précise : « La relative brièveté de la rencontre entre l’accusé et la plaignante a d’abord suggéré que l’acte sexuel n’était probablement pas consentant ».

Il semblerait pourtant logique que le temps de rendre docile et coopérante une femme qui dirait NON à une relation non consentie devrait en pratique prendre beaucoup plus que 7 minutes (y compris l’acte en lui-même) et que la brièveté de la rencontre serait plutôt un indicateur de consentement.

Il est par ailleurs incompréhensible que les Féministes ne voient pas le tort que N. Diallo a causé par ses mensonges aux femmes véritablement violées. C'est elle la grande responsable et non pas le Procureur.

Écrit par : YAEL | 26.08.2011

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Vous dites: «lynchage médiatique qui se poursuit» Oui, en effet.

Le journalisme d'investigation devra examiner la surprenante unité d'expression des interventions des anti-DSK, qui ont fini par donner, touche par touche, les traits d'une véritable "fiche caractérologique" d'un homme insatiable, effrenné.

Cette description de conduite avec les femmes s'est répandue depuis, en reprenant les mêmes mots, un peu dans la tonalité de ce que dit toujours Anne Mansouret. Et ces mots se répètent inchangés dans le discours des avocats de Banon et des avocats américains, aussi sur les pancartes des protestataires féministes.

Tous ces discours sont partis d'une source commune. S'ils étaient autonomes et coïncidents, ils auraient pu frapper fort. Mais ces témoignages sont inefficaces, parce qu'ils tournent en cercle : Thomson voulait apporter le témoignage de Tristane B.; l'avocat de celle-ci voulait apporter en soutien le dossier américain; Diallo a largement utilisé les mêmes mots qui figurent dans l'action introduite par son avocat ; maintenant, le volet de "subornation de témoin" n'est qu'un cas redondant, parti de la même hypothèse caractérologique, considérée comme une arme pouvant frapper mortellement, juste sur la tête de l'accusé.
Mais le début de l'éclaircissement viendra enfin avec cette CONJONCTION inévitable des dossiers. Même sans avoir proprement une connexion des dossiers sur le plan juridique, pour l'opinion publique il s'agira d'une affaire FRANCO-américaine. Tout le monde verra qu'il s'agit du même point de départ: une volonté de punir les égarements de quelqu'un, son libertinage, son impunité sentimentale avec les femmes. Le cas américain sera donc anéanti, vidé de contenu. Car la justice ne "moralise" pas, elle juge !

Écrit par : elise | 26.08.2011

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