Soutien à l'Adjudant-Chef FONTAINE Philippe

Camerone

/ #421 Soutien à l'Adjudant-Chef FONTAINE Philippe

2014-05-23 14:59

Dans cette affaire l'adjudant chef Fontaine est une victime comme ceux dont la maison à brûlé. Les preuves matérielles existent aujourd'hui pour prouver que l'incendie est directement liée au tir de balles traçantes, si les gendarmes et l'expertise avaient été faites correctement l'affaire n'aurait pas été rejugée.
Ce n'est pas la balle qui déclenche l'incendie , mais la matière pyrotechnique qu'elle contient, lorsque l'ont donne un ordre à un maitre de tir pour préparer des hommes qui partent en Afghanistan , celui ci ne décidé pas du tir qu'il va effectuer , l' ISTC est une méthode et un INF qui a été pondu par L'EAI , cet INF lorsque ont le parcours , il est noté qu'on introduit les 2 premières balles sur les 28 que contient le chargeur avec des traçantes , afin que lorsque le trinôme et le tireur voient les 2 traçantes partir , le tireur sait qu'il est en fin de chargeur et ses équipiers prennent le relais pour tenir l'objectif sous le feu. Fort de ce constat l'adjudant a reçu un ordre écrit par note de service lui demandant d'effectuer ce type de tir, cet ordre a été transmit au 1/11 RC 2 mois auparavant pour la programmation de ce tir et la réservation du TC01 champ de tir homologué pour l'ISTC. Pourquoi ce jour là à t'on autorise ce tir , alors que tout officier de tir de régiment sait ce que veut dire ISTC ( je ne confond pas avec le maitre de tir ou le directeur de tir) lorsque le tir à reprit a 13h ce jour là ou était le sous off du CTAI et l'officier de tir du régiment pour signifier les conditions météorologiques défavorable à l'ISTC certainement au bar du mess , comment ce fait il que les pompiers ne sachent pas ou se trouve le champ de tir (plus de 20 mn et il a fallu qu'un légionnaire aille les chercher) alors qu'une note du chef de corps datant d'une année leur désigne comme tâche principale la prévention et la lutte contre l'incendie sur les champs de tir.Non ce jour la comme d'habitude les officiers se sont abrités derrière leurs hommes pour échapper à leur responsabilité.