Non au parc éolien sur le plateau remarquable d'Innimond

Un problème majeur, souvent tu par les promoteurs, est le grand danger que représente la formation de glace sur les pales de ces machines.

Ce problème est connu. Lorsque les pales sont en mouvement elles peuvent projeter des blocs de plusieurs kilos à des distances considérables.

L'institut météorologique Finlandais a constaté ce problème et, bien qu'effectuant des recherches pour pallier à la formation de ces blocs de glace, reconnaît que « la formation de glace sur les éoliennes est un problème complexe du point de vue de la sécurité et du fonctionnement » (source). Des couches de glace de 15 cm ont déjà été constatées, représentant des blocs allant de 20 à 23 kg par mètre (Proceedings of BOREAS II, p.219). Ces blocs de glace peuvent être projetés à une distance allant jusque 550 mètres (750 mètres selon le Professeur Teny Matilsky du Department of Physics and Astronomy at Rutgers University) et atteindre une vitesse d'impact de 273.59 km/h (source).

Ce problème est connu de très longue date et n'a toujours pas été solutionné à ce jour.

En Californie, par exemple, des mesures ont été prises et toutes les éoliennes concernées ont été déplacées afin de se trouver à 800 mètres minimum de simples routes...

 En Belgique, on se contentera d'un simple panneau d'avertissement et l'on plantera ces machines à 350 mètres de chez vous.

La sécurité voudrait que ces machines soient arrêtées lors de gel, mais il n'en est jamais rien. Devons-nous attendre qu'un accident se produise pour réagir?