Boulevard Lévesque Laval sécurité piétonnière

Nous avons repris la pétition pour la personnaliser, la rendre vivante; vous pouvez l'utiliser. La petite Audrey revivra ainsi dans notre mémoire collective comme la défenderesse d'un droit, pour tous les autres enfants. Celui de pouvoir se déplacer en toute sécurité, à pied, à vélo, en famille sans risquer d'être frappé, happé... Laval s'annonce comme un ville d'avenir... attirant ainsi les familles.  Nous en doutons....  Les rues étroites, sans trottoirs, en panne d'éclairage, sans stops, sinon décripites, défoncées, rampantes de nids-de-poules, ce sont les voies d'une ville qui ne s'est pas encore modernisée et dont les normes routières sont décrépites.  Ce sont aussi nos rues à Laval Ouest avec ses accidents mortels.  Village western expulsé d'un autre âge !  Cartographie bancale asservie aux lobbies fossiles. 50 années de détournement et de collusion et tant à retaper, à rattrapper... mais il y a ce monstre Bell,... donc pas $ pour remettre à jour, sécuriser les rues, les routes  mais d'abord, les arénas. 

Pour qui ? Pour quoi ? RIEN QUE DES PROMESSES, QUI SONT TOUJOURS EN ATTENTE, HÉLAS, D'AUTRES VICTIMES pour se gérer.  Ces pétitions, nous les avons fait avant vous; ce rapport du coroner dans le décès mortel du Jeune Collard ou de la brigadière Allard, du jeune Dansereau et j'en oblie, ces décès toujours évitable, ces documents somme toute, seront identiques à ce que vous allez obtenir pour Audrey.  Ces démarches citoyennes dénonçant la statistique nécrophile, l'algorythme comptable mortifère, la gestion techniciste des ingénieures seront-elles encore bafouées ou remises sur les calandres grecques d'un dit comité de sécurité et signalisation (qui ne se déplace jamais) qui ne fait que fonctionnariser les cas de victimes.     Votre pétition est donc un bon pas à la condition qu'elle soit orchestrée avec ce qui s'est fait ailleurs, redonner la Parole au petit Peuple, Audrey sera notre Ange !  Ne pas lâcher ! Nous réapprenons avec vous la démocratie, non pas la démocrature qu'on essaie de nous "refiller".  Gilles Cossette