Il y a deux catégories de jeunes pharmaciens: Ceux qui viennent des facultés d'Ukraine et de Roumanie, qui ont obtenu le bac avec 10 de moyenne et qui ont des parents pharmaciens détenteurs d'officines depuis des décennies. Ceux là ne veulent rien changer à la réglementation existante pour l'ouverture de nouvelles pharmacies, car elle est à leur avantage et bloque les nouvelles créations pour les enfants du peuple. Les enfants du peuple sont cette catégorie de jeunes pharmaciens diplômés de la faculté de Monastir, qui ont fait des études très brillantes et consenti avec leurs familles, majoritairement modestes, toutes sortes de sacrifices matériels. Avec la réglementation actuelle, ces jeunes occupent les dernières places sur les listes d'attente  dont les premières places sont occupées par les parents de la première catégorie de pharmaciens des pays de l'est (qui se sont inscrit sur ces listes après l'ouverture de leur première pharmacie il y a 20, 30 ou 40 ans). La solution: les jeunes pharmaciens et brillants étudiants fils de parents non pharmaciens doivent se constituer une association qui défendra leurs droits et ensemble, ils pourront lutter contre cette réglementation qui les empêche d'ouvrir leur première pharmacie tout en accordant injustement ce droit aux anciens pharmaciens détenteurs d'officines ou fonctionnaires depuis des décennies.

#10: Système injuste à corriger - Pour plus d'équité, cela doit changer