Reconnaissance de la sexologie clinique comme profession de santé autonome

Commentaires

#3

La proposition de reconnaissance telle qu'envisagée actuellement est inacceptable. La sexologie clinique est une profession à part entière, avec une formation singulière et qui, de surcroit, n'est pas la prolongation de la santé mentale même si elle y participe étroitement. En outre, la proposition telle qu'envisagée actuellement risque de voir jaillir des professionnels de la santé sexuelle n'ayant pas la formation, la clinique et l'expertise requise, au détriment du patient lui-même. Aborder la question de la reconnaissance du titre du sexologue, c'est reconnaitre la transdisciplinarité de la profession, aux facettes multiples, pour un objectif commun, la santé sexuelle (supplétive à la santé mentale, médicale, physique, sociale, physiologique, éducative, affective, relationnelle) de nos patients.

Guillaume VAN DER MEERSCH (Walcourt, 2022-06-01)

#15

En tant que conseillère conjugale et familiale et sexologue clinicienne (ULB), il est scandaleux de voir de nouveau notre pratique clinique réduite à rien du tout alors que la formation de CCF est la seule à proposer des cours de sexologie en bachelier professionnalisant. De nouveau, comme avec la psychothérapie, nos formations et pratiques cliniques ne comptent pas pour le gouvernement...

Fanny Leveque (Mons, 2022-06-02)

#16

1/ Très peu de médecins sont sexologues. 2/ Les psychologues sont déjà surchargés. 3/ Les sexologues existent dans de nombreux pays et des formations adéquates existent ! Il faut prendre ces formations en considération !

Frédéric Six (Comines, 2022-06-02)

#17

Malgré 4 diplômes universitaires et de nombreuses formations à mon actif dont celles pour être reconnue par la SSUB, je n'ai pas droit au remboursement pour mes patients (que j'aide pourtant réellement!) car je ne suis pas psychologue, ce n'est pas juste pour eux.

Fabienne Lambert (NAMUR, 2022-06-02)

#21

Il est absolument fondamental de reconnaître la qualité de la formation pluridisciplinaire et l’expérience des sexologues actuels et que ceux-ci puisse garder l’accès à leur profession sans restriction.

Sophie LECOMTE (Berloz, 2022-06-02)

#27

Nous étudions à l’université et réussissons le master en sexologie. Nous faisons en plus le master complémentaire en sexologie clinique. Malgré cela le titre n’est pas reconnu, pas protégé, pas valorisé. C’est tout simplement scandaleux. La sexologie est une profession qui ne s’improvise pas!

Coraline Caris (Francorchamps, 2022-06-02)

#36

Je suis sexologue et souhaite que mon métier soit reconnu et que mes patients puissent bénéficier d'un remboursement de la mutuelle.

Aurélie Douillet (Tournai, 2022-06-02)

#40

Je suis sexologue

Anicuta Iancu (Louvain la Neuve, 2022-06-02)

#45

En tant que Thérapeutes de couple et Sexotherapeutes, membres de la SSUB, mon épouse et moi-même nous en remettons totalement à l'avis, pertinent et motivé, de cette dernière. En particulier, la trans- et interdisciplinarité, sur laquelle la SSUB insiste à très juste titre, est une réalité, spécifique et très concrète, que nous expérimentons au quotidien dans notre pratique clinique au sein de notre cabinet.

Frédéric Jongen (Limal, 2022-06-02)

#47

Je désire la reconnaissance de notre métier à part entière et non en tutelle .

Paule Quivy (Ath, 2022-06-02)

#50

Il est temps de reconnaître ces professionnels qui ne sont ni des psychologues et encore moins des médecins (qui pour beaucoup n’abordent jamais la sexualité)

Cécile Beudot (Braine-l’Alleud, 2022-06-02)

#51

Je signe parce que je suis en pleine formation sexologie (master KULeuven) et que je vois à quel point c'est une discipline importante et autonome.

Sarah Timmermans (Oetingen, 2022-06-02)

#55

Pour la reconnaissance du statut de sexologue universitaire et la prise en charge d une partie des frais de la consultation

Sophie Buyse (Bruxelles, 2022-06-02)

#58

Les sexologue diplômés avec un master de sexologie comme celui de l UCL sont très compétents.

Emmanuel Martin (Bruxelles, 2022-06-02)

#62

C’est important de reconnaître cette profession de la santé

Vero VANDEBROECK (Incourt, 2022-06-02)

#63

je suis kiné pelvi périnéologue et sexologue clinicienne

Veronique ABEELS (Piétrebais, 2022-06-02)

#67

Je souhaite que les sexologues cliniciens soient reconnus en tant que professionnel de la santé autonome.

Eleonore Belvaux (Fleurus, 2022-06-02)

#76

Je signe cette pétition des deux mains car il est grand temps que notre travail et notre profession soit enfin reconnue au même titre qu’un psychologue !! Je signe parce qu’il est temps que nos patients puissent également être remboursés de nos séances, je signe parce que nous sommes formés et légitimés universitaires et que nos suivis sont nécessaires et non un luxe !!!

Marie Tapernoux (Lasne, 2022-06-02)

#77

Je signe parce que tous les patients ont le droit d'être suivi par des professionnels formés et reconnus comme étant compétent.

Amélie Lerouge (Ollignies, 2022-06-02)

#81

J'approuve totalement la vision de la SSUB et VVS concernant le métier de sexologue qui est le mien. La majorité des sexologues sont au départ des travailleurs psycho-sociaux, professionnels du lien, pour très peu de médecins et psychologues. Notre métier devrait être reconnu à son juste titre et à part entière car il est riche, interdisciplinaire par essence et ne dépend par d'une autre profession. Les qualifications et formations existantes pour devenir sexologue sont sérieuses tout comme sa pratique demande rigueur et éthique. Nos patients devraient bénéficier d'un remboursement de nos prestations qui leur sont nécessaires pour leur santé et bien-être globale

Murielle Bissot (Liège, 2022-06-02)

#82

Je signe parce que les patients ont droit un remboursement mutuelle comme pour les consultations psychologiques !

Manon Dewattripont (Tournai, 2022-06-02)

#83

Diplômée sexologue clinicienne, je soutiens et j'approuve la démarche de la SSUB.

Laurence Vitrant (Tournai, 2022-06-02)

#92

Parce que ce métier doit être reconnu pour aider au mieux ce qui en ont besoin et surtout pour valoriser les personnes qui nous accompagnent

Alice Jossart (Perwez, 2022-06-02)

#94

Je signe parce que je dispose d’un titre de sexologue clinicienne obtenu après 2 années de certificat universitaire en sexologie clinique à l’ULB . Je revendique ma formation de qualité .

Nathalie De Taeye (Ottignies, 2022-06-02)

#104

Je signe parce que je suis une future sexologue et que je souhaite que ma profession soit reconnue à sa juste valeur !

Noémie Matthews (Fernelmont, 2022-06-02)

#112

Je suis sexologue

Carine Binot (Nandrin, 2022-06-02)

#118

Je suis sexologue clinicienne diplômée à l'ULB depuis 2014 !

Laura Lelubre (Strépy-Bracquegnies, 2022-06-02)

#120

La sexologie est une profession à part entière.
Nous refusons que la sexologie clinique soit mise sous tutelle d’une profession tierce. Le souci d’interdisciplinarité théoriquement en vigueur dans le champ entier de la santé ne peut servir de prétexte au contrôle unilatéral d’une profession par une autre (i.e. la médecine ou la psychologie clinique). Ce principe a pour corollaire l’affirmation de notre déontologie.La sexologie est multidimensionnelle.
Nous critiquons la propension à laisser la sexologie clinique se restreindre au seul champ de la santé mentale, un concept qui au demeurant fait l’impasse sur l’étroite intrication des facteurs psychologiques, biologiques et sociaux.La formation en sexologie doit être valorisée.
Nous revendiquons le droit pour les diplômés de sexologie à l’éligibilité aux formations débouchant sur un titre reconnu de psychothérapeute.

Anne Filippi (Manage, 2022-06-02)

#126

En tant que future sexologue, je souhaite que la profession soit reconnue.

Pauline Gerard (1040, 2022-06-02)

#145

Je signe car je souhaite que ma profession et mon titre de sexologue soit protégé!!!

Charlotte Claude (Nil Saint Vincent, 2022-06-02)

#149

Bonjour,

J'estime que la sexologie se suffit à elle seule que pour justifier une autonomie à temps plein : les problèmes relatifs à la sexualité sont parfois complexes et prennent du temps à se résoudre ; du temps qui ne peut malheureusement pas être accordé à autre chose et qui mériterait d'être dispensé de manière entière par une seule personne travaillant (ou non) en équipe.

En ce sens, restreindre la reconnaissance du titre en tant que sous-spécialité me semble, à priori, être une idée injustifiée : une formation de qualité devrait amplement suffire et serait plus flexible à la demande du milieu.

Économiquement, et en toute naïveté, je me demande également si une telle formation ne reviendrait pas moins cher que de former, par exemple, un psychologue qui devrait ENSUITE se spécialiser en sexologie clinique. Qu'un psychologue soit initié à la sexologie, je comprends. Mais que la sexologie CLINIQUE soit UNIQUEMENT réservée à des psychologues ou à des médecins me semble être une perte de temps ET d'argent sans aucun gage de qualité en retour. Pour moi, c'est un métier à part qui mérite une formation à part mais ce n'est que mon avis...

Jonathan BUSTIN (Chapelle-lez-Herlaimont, 2022-06-02)

#154

Je signe car j'ai fait le master à finalité sexologie de l'UCL.

Chloé Van der Auwera (Bruxelles, 2022-06-03)

#155

Étant sexologue, j’espère que notre profession puisse être enfin reconnue

Élodie Claude (Herbeumont, 2022-06-03)

#166

Je suis sexologue, j'ai suivi des formations qui me permettent d'exercer sans pour autant être psychologue ou médecin. La sexologie exige une approche pluridisciplinaire et la diversité des parcours universitaires de chaque praticien est une richesse. Ne donner cette fonction qu'aux médecins et psychologues seraient réducteurs. Nous sommes tout autant formés et aptes à exercer !

Charline Delmotte (Bauffe, 2022-06-03)

#181

Il me tient à cœur que le domaine que j’étudie actuellement à l’UCLouvain soit reconnu à sa juste valeur afin de garantir la sécurité des patients et celle des praticiens.

Inès Ben Hamida (Vaux-sur-Sûre, 2022-06-03)

#184

Je suis Sexologue et je souhaite une reconnaissance du statut afin de protéger nos patients et pour garantir le sérieux de cette profession

Elodie Querton (Namur, 2022-06-03)

#186

Je suis sexologue / psychologue

Émilie Peetrons (Beersel, 2022-06-03)

#188

Il est impossible d'acquérir les compétences basiques en sexologie en 35 ECTS, c'est mettre les patients entre les mains de thérapeutes incompétents.

Chloé Vaneyck (Chastre, 2022-06-03)



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