Modification article 611 du code civil du Québec

Modification article 611 du code civil du Québec / Annonces / Nous cherchons des témoignages / Commentaires


Visiteur

#1

2019-06-18 00:34

Notre fille a été en couple avec un pervers narcissique pendant 7 ans à Québec. Il a réussi à la démolir. Notre fille refuse de nous dire s'il y a eu agressions physiques mais nous a avoué les agressions verbales. Elles ont toutes eu lieu en présence de notre petite-fille. Elle l'a déjà verbalisé en nous disant qu'elle avait peur quand papa était fâché et qu'elle se cachait dans sa chambre. Ils se sont séparés de peine et de misère il y a près de 5 ans. Ils ont eu une fille qui a aujourd'hui 7 ans. Monsieur fait la vie dure à ma fille en faisant toutes sortes de procédures. Elle, qui a besoin de toutes ses forces pour revenir en équilibre doit constamment se battre contre lui. Nous avons été très présents en lui offrant le logement au-dessus de chez-nous gratuitement pour la supporter à Trois-Rivières. Nous payons les frais d'avocat qui ont, à ce jour, atteint 8 000$ pour quoi? pour moins que ma fille est en droit de recevoir par la Loi. Son avocat a réussi à tellement ralentir que le temps a effacé certaines choses. De plus, une faillite bien calculée nous enlève à peu près toute poignée. De plus, il refuse toute participation du gouvernement dans le calcul et le versement de sa maigre pension alimentaire. Une juge de la Famille de Québec a décidé d'envoyer notre petite-fille chez l'agresseur de ma fille une fin de semaine sur deux. La petite fait des crises pour ne pas y aller. Nous lui avons promis, quand elle est arrivée chez-nous il y a presque 5 ans, que nous la protègerions à tout prix. Imaginez quand nous allons la reconduire au "lieu d'échange" (quel mot horrible) où ma fille préférait que je l'accompagne pour la protéger des insultes et autres gros mots. Tous ça devant notre petite. Notre coeur saigne à chaque fois. Elle pleure en le voyant arriver. Au retour, elle ne le salue même pas et se précipite vers sa mère. Il doit, selon le jugement, lui parler 2 fois par semaine, ce qu'il ne fait pas tout le temps prétextant un travail trop absorbant. Mais, si pour une raison extraordinaire, il ne peut avoir accès, c'est tout de suite un outrage au tribunal. De plus, il a 'bardassé' ma fille et la petite lorsqu'il avait décidé de venir chercher la petite à son école et que son sac d'école n'était pas prêt: crissement de pneus, sacres, cris, tir des choses de la petite et poussé ma fille sur le trottoir. Pas vraiment de témoin donc pas d'accusations ni condamnation. Ma fille a pu bénéficier de l'aide la Cavac et de l'Ivac mais toujours après un long délai. La DPJ de trois-Rivières (avec ses lacunes) s'en est mêlé mais l'évaluation était toujours sur le bord et à chaque fois on recommençait à zéro. Elle a, entre-temps, été victime de viol, autre page absolument dégueulasse devant la police et la Loi. Nous souhaitons que ça puisse aider à faire avancer la cause des enfants et de leur mère, je crois fermement qu'un enfant a besoin de ses deux parents pour s'épanouir mais qu'à défaut, la mère devrait prendre le dessus sans autre forme de discussion (sauf s'il s'agit d'une maman dont les facultés, les possibilités et les habiletés lui font cruellement défaut) et encore, si c'est soignable, bien qu'on la soigne. Je passe sous silence que nous avons dû supporter toute sa subsistance pendant près de 4 ans. Sans possibilité de déduction aucune. Pourtant elles étaient absolument à notre charge. De plus, notre ainée, a été 'flochée' par son mari pour sa meilleure amie après presque 10 ans de mariage avec trois garçons. Ils ont une garde partagée une semaine sur deux. Le papa menace constamment de retirer la garde à ma fille qui a dû faire faillite en remorque à celle de monsieur. Il refuse systématiquement toute activité sportive qui est payée par maman prétextant que son horaire est chamboulé à cause des fantaisies de leur mère. Des-hockey une heure le dimanche matin, soccer une heure le mercredi à 18h30. De même le choix de leur école est scruté. Il a averti ma fille de ne pas emménager trop proche de chez-lui pour ne pas embarrasser sa nouvelle conjointe au cas où elles se rencontreraient. le paiement de la pension alimentaire est toujours ardu. Enfin, des amis de notre troisième fille, qui demeure à l'Assomption, vivent des horreurs avec les parents de Monsieur. En cour pour avoir la garde des petits dont une de 2-3 mois à ce moment malgré l'allaitement "vous tirerez votre lait" lui a dit le juge. et 'Défense' de rester avec les enfants. Ils devront s'endetter de plusieurs dizaines de milliers de $, hypothéquer leur maison, leur avenir pour se défendre contre cette ignominie. Claude Beaudoin 819-373-5916