RESPECT DU SECRET PROFESSIONNEL DES AVOCATS

Bravo pour votre initiative !
Continuons le combat!
Bien cordialement

oui à la pétition mais
le secret étant un principe supérieur il doit être intangible. il ne peut être encadré ou limité; il ne peut exister que des sanctions de sa violation qui opère une violation des règles constituantes de la République. Il appartient aux organes répressifs et d'instruction d'exercer leurs talents ailleurs que dans nos Cabinets, sauf bien sûr à reconnaître un état de carences professionnelles général. Mais là est un autre débat.

J'ai eu les plus grandes difficultés à ouvrir la page qui était.... bloquée...

je ne suis pas pénaliste mais fiscaliste international , donc en première ligne dans les intrusions du Fisc dans nos cabinets !

Toutes les atteintes, d'où qu'elles viennent, mettant en cause les principes de confidentialités des relations de l'avocat et de son client, mettent en cause les principes fondamentaux de la démocratie et des libertés publiques.

Quand je vois ce que nous avons comme ministre de tutelle (je dénie à cette personne le droit de se faire appeler "Garde des sceaux") j'ai honte d'être avocat

RÉVOLTONS NOUS!!! L' UNION EST NOTRE FORCE ET LA PÉTITION NOTRE "ARME"...!!!
FORMONS DES BATAILLONS ET DÉFENDONS NOUS!!!

c'est un devoir de s'associer à cette protestation;

on s'y retrouve d'ailleurs en bien bonne compagnie

il est essentiel de se rassembler et de se battre pour faire respecter les règles et principes fondamentaux de notre profession à peine d'en voir disparaître jusqu'à l'essence même.

#1: -  

 

4% seulement de cassation venant de la chambre criminelle, un véritable Etat dans l'Etat de la Cour de Cass. Que d’anciens juges d'instruction et avocats généraux. Il faut la représentation de davantage de civilistes et garants des droits de l'homme et libertés publiques ABB

République, sous les coups du pouvoir, ta liberté, tes libertés foutent le camp. A tout négocier (encadrement du secret, obligation de dénonciation, déplacement du palais, actes d'avocats, domaine du droit etc...) les barreaux, les avocats perdent leur âme.
Il faut savoir dire non.
Les veuves de la plazza de mayo auraient-elles eu plus de courage que nous n'en avons?
Est-il encore temps de pleurer?
Ne sont-ce pas que des jérémiades qui suintent de nos cœurs apeurés?
Que représentons-nous, que représentent les libertés publiques face aux pouvoirs politiques pervers et mercantiles.
C'est debout, physiquement, en robe, sur nos places de Mai, comme des veuves argentines, qu'il faudra porter notre deuil et dire NON en relai aux savants et courageux exposés médiatiques déjà formulés.
Rassemblés sous une unique autorité, celle l'éthique professionnelle que défendent nos CNB, Ordres et Bâtonniers, portons le droit des gens par notre exigence jusqu'au départ de ceux qui ont ordonné, connu, admis, caché ou tenté de cacher la violence faite aux citoyens, le viol de nos valeurs.
Proposons des places de Mai dans chaque barreau (pour PARIS la salle des pas perdus où comme des gueux assoiffés de libertés le parvis du Palais, la place Dauphine .... par exemple), Là où, par roulement, publiquement, jours après jours, nuits après nuits, tenant publiquement nos cahiers de doléances, nous exprimerons le caractère inviolable et sanctuarisé du secret de nos cabinets et de notre exercice.
Il n'est plus temps de discutailler et de faire des Lois d'encadrement qui ne servent qu'à limiter le principe et ne protègent que ceux qui le violent. Nul besoin de loi pour aimer le secret professionnel et le savoir intangible!
Il n'est plus temps de concéder ni de reculer sinon, taisons-nous, à jamais, et terrons-nous en tremblant; des oreilles malveillantes pourraient nous écouter.

#34: -

 

Mon soutien est inconditionnel

le secret professionnel est une des garanties essentielles aux libertés publiques et individuelles qui protège contre l'arbitraire et l'Etat totalitaire; il est intrinsèquement lié à la liberté de conscience, à l'existence d'une défense authentique, à la préservation de la présomption d'innocence, bref à ce qui fonde la dignité humaine.

Il faut soutenir l'inviolabilité du secret professionnel pour tous les avocats,quelle que soit la spécialité concernée ; le Gouvernement a fait voter un dispositif permettant une violation continue du secret professionnel de l'avocat fiscaliste également ; le principe de la confidentialité des échanges entre l'avocat et son client et entre avocats est vidé de sa substance par le Législateur qui, a, en outre,instauré une totale impunité pour les "lanceurs d'alertes" pour faire oublier les turpitudes des hommes politiques.

Mon Cher Confrère, bien que n'étant pas un avocat dit "pénaliste" je soutiens totalement votre démarche sur le respect du secret professionnel qui concerne tous les avocats et leurs clients.
Je suis choquée de la façon dont a été traité notre confrère HERZOG. Ce traitement n'est pas digne d'une démocratie.Votre bien dévouée

merci

J'attendais avec une grande impatience de pouvoir signer cette pétition.

Je me demande pourquoi cette initiative ne vient pas de la part de notre Bâtonnier, ou de l'Ordre des avocats.

Parce qu'il est temps non seulement de défendre les libertés fondamentales de nos clients mais aussi de protester face au dénigrement systématique de notre profession par des hommes et des femmes politiques qui sont pourtant si souvent nos clients...

C'est un prinicpe intangible sans lequel la profession n'a plus de sens

Le sens du devoir (Déontologie) et de la confraternité au soutient de Thierry, de notre Ordre et de tous les avocats de France.

Ne faut-il pas mettre en parallèle, la logorrhée législative avec l'esprit d'intrusion de la sphère publique dans le domaine privé ? L'Avocat sera de plus en plus ce rempart dressé pour la défense de la liberté et du respect de la vie privée dont le secret professionnel (qui protège nos clients et non pas nous-mêms) est une clé de voûte.

Je ne peux que m'associer aux termes
de la pétition en formant le voeu que les pouvoirs publics modifient rapidement la loi et/ou procèdent à l'aménagement du texte pénal, eu regard aux dispositions de la CEDH

Votre bien dévoué.