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2011-09-14 23:04

Les Cent jours de DSK : Rykers Island, comme l’île d’Elbe, le château d’If, la Calédonie ou l’île du Diable 4 septembre 2011 | Auteur Jacques Thomet
04 septembre 2011

« DSK n’est pas mort, car il bande encore » (chanson de Carabins adaptée ad hoc)

L’accueil de Dominique Strauss Kahn comme un chef d’Etat au sommet de sa gloire, à l’aéroport de Paris, m’incite à revenir au galop pour mettre au pas ceux qui l’ont si vite dénigré, calomnié, et enterré, aux dépens des faits bruts que je n’ai cessé de présenter ici sans aucun parti pris en sa faveur, malgré les assertions de mes contradicteurs que je respecte.

Obsédé de la braguette, comme tous les politiciens avant, pendant et après lui, DSK a été blanchi à New York d’un présumé viol contre une menteuse guinéenne à répétition, et vient de rentrer triomphalement à Paris, dans l’attente de ses premiers commentaires après un cauchemar de Cent jours, dont sa détention dans l’île de Rykers Island, au large de New York.

Sans lire dans le marc de café, je qualifie de prématurée toute prévision sur le devenir de l’ancien patron du FMI, ex-ministre socialiste des Finances et candidat favori des Français à la présidentielle de 2012 avant sa mésaventure.

L’opinion, versatile, hésite entre une condamnation pour ses frasques sexuelles, un pardon déjà accordé par son épouse Anne Sinclair, monument de dignité dans ce capharnaüm judiciaire, et un appel à se présenter malgré ses déconfitures passagères.

Que je sache, DSK n’est pas cet ancien ministre socialiste pédophile dénoncé par l’ex-ministre Luc Ferry, dont l’identité est connue du tout Paris et des médias, mais que l’enquête en cours n’ose pas entendre.

Il n’est pas non plus l’amant d’une gardienne de musée ni de leur fille, logées aux frais de l’Etat Quai Branly à Paris pendant des décennies par le sinistre Mitterrand, auteur de 3.000 écoutes téléphoniques illégales et punies (normalement) par la loi contre des journalistes et comédiennes. L’une des conversations sexy de l’une d’elles l’aidait à prendre son pied à distance, malgré ses problèmes de prostate.

DSK est encore moins adepte des petits garçons adorés dans leurs crimes par tant de franc-maçons ou autres idoles socialistes, comme X et Y.

Rykers Island deviendra peut-être un jour aussi célèbre dans les livres d’histoire française, toutes proportions gardées, que l’île d’Elbe pour l’empereur Napoléon 1er, le château d’If pour Edmond Dantès (le comte de Monte-Cristo), la Calédonie pour l’anarchiste Louise Michel, ou l’île du Diable pour le capitaine Alfred Dreyfus.

Les Français ont la mémoire courte, faut-il le rappeler pour nos jeunes lecteurs. En juillet 1944, le maréchal Philippe Pétain était acclamé à Paris. Un mois plus tard, le général Charles de Gaule, sur les pas de la 2e DB du général Leclerc, libérait la capitale des nazis.

Nous ne sommes plus en guerre, en tout cas et heureusement dans l’immédiat, mais les défis restent les mêmes pour notre société.

Les pires des crimes sont commis non pas en guerre, dans un climat propice à tous les excès, mais dans la paix, quand les enfants sont livrés aux incestes et sodomies rarement condamnés avec la bénédiction de juges effrayés par les avocats de cette mafia criiminelle.

DSK représentait un espoir pour des millions de Français, tout juif qu’il soit, et c’est une avancée dans le pays de Dreyfus et du Vel d’Hiv (20.000 juifs envoyés dans les camps nazis en 1942 par l’Etat vichyste avec l’aide de la police française et des cheminots bien français)

Qu’il soit tombé dans le piège d’une menteuse en mal de profits déjà avérés, comme je l’ai révélé ici, n’en fait pas le monstre présenté au public par des médias aux ordres du bouffon qui nous sert de président.

A suivre donc…